Malheureusement il semblerait bien que ce ne soit pas le cas. Si l’on sait qu’1 enfant sur 5 est sorti avec un certain traumatisme du premier confinement en 2020, ce pourcentage n’a cessé d’augmenter avec les confinements successifs.
Aujourd’hui les phobies se développent chez les plus jeunes : peur de la maladie, de la mort, de perdre un proche mais aussi d’aller à l’école, de sortir. Certains enfants ont également vu leurs parents inquiets pour l’avenir, épuisés, précaires, dépassés par les évènements ce qui a augmenté leur anxiété sans qu’ils osent forcement la verbaliser afin de ne pas « en rajouter » sur les épaules de papa et/ou maman…
Comment se traduisent